Réduction de la vulnérabilité des femmes et filles et promotion de leur autonomisation en mettant un terme aux violences faites aux femmes et filles.
Accompagner les femmes marginalisées, victimes de viol, abandonnées et engrossées puis délaissées.
Accompagner les enfants nés sans identité de leurs parents, les enfants de la rue, les orphelinats, les personnes handicapées, les blessés de guerre.
Selon Meinie Nicolai, la responsable des opérations pour la région des Grands Lacs, des gens continueraient à mourir dans des régions touchées par les conflits permanents, mais « la pauvreté abjecte et la souffrance font tout autant de morts que les conflits. »
MSF a indiqué que les victimes souffraient et mouraient de maladies infectieuses comme le paludisme, de maladies respiratoires, de maladies diarrhéiques, « des maladies qui peuvent être évitées ». Les résultats de l’enquête ont également révélé que dans les régions où des soins de santé étaient disponibles, la majorité de la population n’avait pas les moyens de les payer. « Un grand nombre de personne a encore du mal à s’acquitter de la plus petite contribution financière nécessaire pour bénéficier des soins de santé, plus particulièrement les femmes et les enfants », avait déclaré Meinie Nicolai. Du reste ; la majorité des Congolais vit avec l’équivalent de moins d’1 dollar américain par jour, a précisé MSF. « Par conséquent, lorsque les gens se rendent dans les centres de santé, il est souvent trop tard ».
Selon Meinie Nicolai, la responsable des opérations pour la région des Grands Lacs, des gens continueraient à mourir dans des régions touchées par les conflits permanents, mais « la pauvreté abjecte et la souffrance font tout autant de morts que les conflits. »
MSF a indiqué que les victimes souffraient et mouraient de maladies infectieuses comme le paludisme, de maladies respiratoires, de maladies diarrhéiques, « des maladies qui peuvent être évitées ». Les résultats de l’enquête ont également révélé que dans les régions où des soins de santé étaient disponibles, la majorité de la population n’avait pas les moyens de les payer. « Un grand nombre de personne a encore du mal à s’acquitter de la plus petite contribution financière nécessaire pour bénéficier des soins de santé, plus particulièrement les femmes et les enfants », avait déclaré Meinie Nicolai. Du reste ; la majorité des Congolais vit avec l’équivalent de moins d’1 dollar américain par jour, a précisé MSF. « Par conséquent, lorsque les gens se rendent dans les centres de santé, il est souvent trop tard ».
C’est dans ce contexte que nous nous sommes réunis et avons créé l’association sans but lucratif dénommée « Action d’appui aux femmes et enfants en détresse » qui s’engage à apporter sa modeste contribution à la résolution des questions environnementales, économiques, lutte contre les violences faites aux femmes et toutes sortes de violence faites aux femmes et d’accès aux services socio-sanitaires de base en République Démocratique du Congo.
L’ONG AFED est une organisation sans but lucratif créée par les jeunes rescapés (victimes directes et indirectes) des massacres et différentes exactions de crimes de guerres et violences sexuelles de Kaniola-Nindja dans le territoire de Walungu au Sud-Kivu et de Makobola à Fizi et Kasika à Mwenga toujours dans la province du Sud-Kivu en République Démocratique du Congo.